Série L’Adultère : (Partie 4) Julie N’Avait Pas Hésité À Tromper Son Mari. Le Flamant Rose. 1/2

Je m’appelle Julie, comme Barbara et Valérie avant moi, je me jette à l’eau pour vous conter mon premier adultère. Si certaines femmes n’osent pas, moi je n’ai pas attendu très longtemps avant d’être infidèle.

Voilà, j’ai 36 ans, je suis une femme mariée depuis six ans, sans . Mon physique est avantageux avec mes un mètre soixante-quinze pour 61 kilos, une belle poitrine, de longues jambes fuselées et des fesses rebondies. J’entretiens mon corps car j’aime que les hommes me regardent avec envie et je voudrais être désirable le plus longtemps possible. J'aime réellement mon mari de tout mon cœur et nos parties de sexe sont diaboliques. Je ne conçois pas ma vie sans lui et pourtant je n’ai pu m'empêcher de lui être infidèle.

Étant assistante de formation, il m’arrivait de temps à autres de travailler à plus de 100 km de chez-moi. Je restais donc plusieurs jours sans revenir à la maison. Ce fut à partir de là que j’avais commencé à fauter. Tout avait commencé seulement deux mois après mon mariage. Je venais de m’apercevoir, que j’avais oublié mon sextoy pour me faire du bien le soir avant de me coucher, en attendant de rentrer à la maison pour prendre mon pied avec mon mari Simon. Connaissant la jeune secrétaire du centre où je me trouvais, une petite salope par ailleurs qui couchait avec le responsable, je lui avais demandé où je pouvais trouver un sexshop. Elle m’avait dit qu’elle allait s’en occuper. Le midi au réfectoire, elle m’amena un paquet et me dit :
— C’est un cadeau de la direction.

J’étais très pressée de l’ouvrir, je mangeais avec elle au fond de la salle et j’ouvris ce petit paquet. À l’intérieur, se trouvait un joli ustensile mais pas un godemichet traditionnel, il était tout rose, c’était comme un œuf oblong, avec un grand cou recourbé et une tête ressemblant à un bec d’oiseau. Je lis donc la description :

« Flamant rose » sera votre nouveau jouet à emmener dans toutes vos aventures.

Cinéma, voiture, bureau ou même à l'extérieur ce sextoy n'a pas de limite pour vous faire vibrer. C’est un dispositif vibrant, discret et sensuel qui vous permettra de toucher au-delà de votre pensée, tous vos fantasmes seront comblés avec votre téléphone mobile. Son design ergonomique fait qu'il s'ajuste parfaitement à votre corps pour une utilisation sans les mains et un plaisir inimaginable. Le corps du « Flamant rose » viendra stimuler votre point G tandis que la tête sera le déclencheur de sensations intenses au niveau du clitoris.
— Va l’essayer me dit-elle. J’en ai un aussi à la maison.

Je n’avais pas pris le temps de le connecté sur mon smartphone, je quittai mon siège pour me diriger aux toilettes pour me le mettre en place, c’était parfaitement adapté à mon intimité. Je le gardai en moi et j’étais retournée à table :
— Alors ? C’est bien mais c’est encore mieux quand il vibre, tu vas voir c’est tout simplement génial.
— Déjà quand on marche avec, même quand je me suis mise assise. Woahhh…Fis-je d’un coup.

L’œuf venait de vibrer en moi, je fus submergée par une chose étrange, l’intensité augmentait progressivement, en vibrations de plus en plus fortes et rapprochées à l’intérieur de mon vagin, je me tortillais sur ma chaise. Carine me dit alors :
— Je te garantis que tu vas prendre ton pied. Regarde Florent comme il se marre. C’est son cadeau de bienvenue m’a-t-il dit.

L’engin s’était arrêté, Florent s’était levé et vint vers nous avant que l’on débarrasse la table :
— Carine, prends son plateau s’il te plait, laisse nous seuls un moment.

Il se mit assis en face de moi, me pris la main et la baisa. Florent était le responsable de service, un très bel homme d’une quarantaine d’année. Divorcé, il connaissait beaucoup de maitresses dont Carine qu’il sautait quand il voulait :
— Je ne vous permets pas de vous servir de ce truc sur moi. Je vous demande de vous déconnecter.


Juste à cet instant, le flamant rose se remit à vibrer de plus belle, je ne pus m’empêcher de pousser un petit cri de surprise. Je me levai à moitié, et je plaquais mes deux mains sur la table. L’engin s’accélérait, je sentais couler en moi la cyprine se déversant sur le fond de ma petite culotte, j’allais jouir ici, en plein milieu du restaurant, alors que personne ne m’avait touchée. Je n’en pouvais plus, je me penchai un peu plus vers lui et dit à son oreille, en le tutoyant :
— Florent arrête ! Je jouis bon dieu !

Il avait eu pitié de moi, il stoppa les vibrations et me donna rendez-vous dans son bureau afin qu’il règle mon smartphone sur le sextoy et déconnecte le sien. J’avais attendu qu’il parte pour retourner aux toilettes enlever cet objet magique que je dissimulai dans mon sac. Lorsque je pénétrai dans son bureau, Carine me jeta un regard de jalousie sans pareil, je m’installai sur le siège lui faisant face. Florent n’était pas le genre de type qui tournait autour du pot, il alla droit au but en me demandant comment j’avais trouvé ce joyau de technologie :

— Super génial, il m’a fait grimper aux rideaux en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire.
— Ça te dirait que nous l’essayons ce soir dans ta chambre ? Depuis que je te connais, je bande à chaque fois que je te croise. J’ai vraiment envie de toi Julie, tu es trop bonne mon cœur.
— Florent, voyons, je viens de me marier, tu le sais non ?
— Tu es jeune, il faut en profiter et ton mari n’est pas là pour te combler. Peut-être que lui aussi…
— S’il te plait, ne parlons pas de lui.

C’était réciproque, je trouvais cet homme à mon goût bien avant que je connaisse Simon. Mais je n’avais jamais voulu lui montrer, ne voulant pas mélanger sexe et travail. J’essayais de contourner la conversation mais il revenait sans cesse à la charge. Carine, curieuse comme pas deux, était venue frapper à la porte pour une excuse bidon, elle devait penser que nous étions en train de baiser.
Juste après sa sortie, j’avais accepté de le recevoir le soir même. Je faisais une pierre deux coups, je donnais une leçon à cette chipie et je prenais du plaisir avec ce beau Florent.

Le soir après le travail, je pris une douche et j’avais remis le flamant rose avant d’aller prendre mon repas. Je l’actionnais à ma guise en regardant les hommes qui se trouvaient dans la salle du restaurant ce qui m’excitait un peu plus. Je jouais allègrement avec toutes ses fonctionnalités, j’alternais les différentes puissances, douces puis plus fortes, j’étais au bord de l’extase.

J’étais rentrée à l’hôtel directement, Florent m’attendais dans le hall, lisant une revue. Nous sommes montés dans la chambre comme un couple ordinaire puis je m’étais rendue à la salle de bains, je pris soin de fermer la porte derrière moi. À ce moment, il prend mon portable et actionne l’œuf vibrant sur le maximum, pendant plusieurs minutes, je me cramponnais, tout mon corps tressautait, je coulais entre cuisses, jusqu’à l’orgasme. J’ouvris la porte lorsque l’engin s’arrêta de fonctionner et Florent déjà nu y pénétra, me pris dans ses bras et m’embrassa langoureusement.
— Oh mon dieu !!! Que c’est bon !!! Tu m’as mis le feu au cul. J’ai la chatte trempée. Prends-moi sauvagement.

Le Flamant rose était toujours allumé sur la position minimale, Florent fit glisser les bretelles de mon soutif pour libérer ma poitrine puis de sa bouche avide, me suça les mamelons. Je n’avais jamais eu autant de désir et de fougue que ce soir-là, dans cette salle de bain et l’action simultanée de sa bouche et de l’œuf me faisait une nouvelle fois jouir comme jamais et j’inondais le carrelage de mon liquide qui coulait à grands jets. Profitant de mon orgasme, il me souleva afin que je m’empale sur sa queue tendue. La présence de son sexe et du flamant dans ma vulve brulante me procurait un nouveau spasme et mes yeux se révulsaient tandis que je criais mon bonheur, les voisins devaient m’entendre.


Heureusement, la musique dans le hall avait probablement couvert mes cris. Lorsqu’il me reposa sur le carrelage trempé pour reprendre ma respiration, Florent reprit le massage de mes seins qu’il adorait :
— Ce soir, je vais t’enculer. Je veux te prendre le cul pendant que ta chatte recevra le flamant rose. Tu veux ?
Je gémissais encore, j’acquiesçai de la tête en lui lançant un regard de défi :
— Même pas cap, montre-moi que tu es capable.
— Prépare-toi, ma chérie, je te conseille de le lubrifier t’as vu dans l’état que tu m’as mis.

Oui ! Florent bandait fortement et la taille de sa jolie queue était au-dessus de la moyenne. Je mis mon majeur dans ma bouche et le suçais avidement afin de le provoquer. Pendant ce temps, il s’activait toujours sur mes seins d’une main et s’amusais à me r la vulve de l’autre. Je glissai un doigt, puis deux dans mon anus, toute la zone était déjà mouillée, il se dilata sous la poussée de mes doigts. Je me penchai en avant, mes mains reposant sur le rebord de la baignoire :
— Viens prends-moi, je suis prête, vas-y doucement.

Il déballa un préservatif et se l’enfila sur son sexe en pleine érection, me demandant si j’étais ok :
— Ne me fais pas mal, c’est tout ce que je te demande.
J’étais un peu crispée, je ne pratiquais que très peu la sodomie, mon mari, même s’il lui arrivait de vouloir de temps en temps, se tromper de trou, je ne prenais pas trop de plaisir car j’avais un peu mal. Florent se plaça à l’entrée de mon anus, plaça son gland humide sur ma rondelle étoilée et poussa doucement pour en forcer l’entrée.

— Doucement !!! Tu me fais mal !!! Oh !!! Arrête.
— Laisse-toi aller salope, que je puisse t’enculer.

J’écartai plus les jambes et je me baissai en posant les mains au fond de la baignoire, son sexe entra de plusieurs centimètres d’un coup, pendant que mon vagin coulait par les vibrations du flamant rose.
— Oui ! Doucement ! Hum !!! N’arrête pas ! Tu es à fond ?
— Non ! Serre les dents, tu vas l’avoir dans le cul, salope !
— Non ! C’est trop serré.

A ce moment, Florent pris le téléphone et intensifia l’action du sextoy qui vibrait entre mes jambes et je me lâchai complètement.
— Oui !!! Vas-y ! Pousse, défonce-moi ! Hum !!!

Je me penchais en avant le plus possible, j’étais donc comme dans une double pénétration, j’écartais mes fesses pour lui permettre de coulisser complètement dans mon conduit anal.
— Ouais, j’y suis, comme ça ! Oooh ! c’est trop bon !
— Pousse, pousse encore, vas-y défonce-moi, je la sens bien ! Oooh je jouiiiiiis ! Oh c’est trop bon !

Ses allers-retours combinés aux mouvements du flamant rose dans ma chatte avaient eu raison de moi une troisième fois et j’inondai de nouveau le sol carrelé de la salle de bain, de mon liquide intime. Pendant que Florent continuait ses allers et venues dans mon cul. Je savourais l’extase.
— Prends ça oui, je viens ! Dit-il.
— Oh non ! Viens dans ma bouche.

Il se retira, enleva sa capote, je m’étais retournée et m’agenouillai sur le sol, je pris son phallus dressé dans ma bouche goulument. Je l’aspirais tellement voracement qu’il jouit presque immédiatement entre mes lèvres. J’avalais son sperme visqueux et nettoyais avec application les quelques coulées qui s’étaient échappées et coulaient le long de sa hampe.

J’étais exténuée et pleinement satisfaite, j’arrêtai le fonctionnement du flamant rose et le sortis de mon vagin. Je m’étais redressée, pris sa tête entre mes deux mains et l’embrassai passionnément. J’adorais le goût de nos langues et de son sperme dans ma bouche. Il me rendait mon baiser avec autant de fougue et me remercia pour ce moment de plaisir intense.
— Tu restes avec moi cette nuit ? Lui demandais-je.
— Non ! Je me sauve, je vais chez Carine, je lui ai promis. Elle doit se morfondre cette salope.

J’étais quelque peu déçue et surtout jalouse mais d’un autre côté, j’étais tellement fatiguée que ça me ferait du bien de passer une nuit tranquille. Dans mon lit après la douche, je pris conscience que je venais de tromper Simon, sans qu’à aucun moment, je n’ai pensé à lui. J’étais dans l’euphorie du plaisir, cette soirée était la mienne, je m’étais laissée aller à mes désirs de sexe et non pas de l’amour. C’était la première fois, j'avais longtemps culpabilisé et j'avais envie de tout lui dire en rentrant, je me sentais mal. Et puis, j'avais réalisé que si j’avais fait cela après deux mois, il y aurait ment une deuxième et une troisième fois. Je n'avais pas le droit de lui faire du mal pour soulager ma conscience.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.


Si comme Julie vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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